Nora Martirosyan, cinéaste : « Dans “Si le vent tombe”, l’aéroport est un moyen de parler de la frontière »
Pour son premier long-métrage, la réalisatrice d’origine arménienne a posé sa caméra dans le Haut-Karabakh, un territoire en crise, afin d’évoquer l’espoir sans cesse déçu de tout un peuple à « faire pays ».
by via Actus internationales mix
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